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Mentorat « Pimp IT up »
Des étudiantes anversoises en dernière année de l’enseignement secondaire bientôt encadrées par des diplômées en informatique
C’est sous le titre accrocheur « Pimp IT up » qu’Ada et la Haute École anversoise Karel de Grote (1), organisent début 2006, en collaboration avec l’association des Anciens INFOOS, une journée de mentorat. Une journée dédiée aux étudiantes des Collèges Sint-Anna et Sint-Lodewijk d’Anvers, qui terminent leurs secondaires en 2006 et doivent choisir une voie pour leurs études ultérieures.
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« On n’aime que ce qu’on connaît » dit le proverbe... C’est plus que jamais vrai en ce qui concerne la profession d’informaticien, qui recouvre aujourd’hui des centaines d’applications différentes. Si ce chiffre paraît un peu excessif (2), l’adjectif qu’on colle au métier - « ennuyeux » - l’est encore plus selon les anciennes étudiantes en informatique de la Haute Ecole anversoise Karel de Grote. En témoigne le dynamisme qu’elles ont déployé pour mettre sur pied leur fonction de mentor dans le projet « Pimp IT up ».
« Pimp IT up »
L’objectif du projet « Pimp IT up » est d’organiser une journée, début 2006, pour des futures diplômées du secondaire devant bientôt faire un choix d’études, et de les confier à un(e) jeune informaticien(e) dans le cadre d’une visite d’entreprise informatique ou de département IT. De cette manière, ces informaticien(ne)s, anciens étudiants de la Haute Ecole anversoise Karel de Grote, pourront leur démontrer qu’une formation en informatique offre une variété de débouchés, que cette profession n’est pas nécessairement monotone ou fastidieuse et qu’au contraire, elle est synonyme de défis et de dépassement de soi. De nombreuses fonctions requièrent même, outre les connaissances techniques, de grandes capacités relationnelles et en communication. Enfin, selon l’entreprise, bien évidemment, ces fonctions se conjuguent parfaitement avec une vie privée et/ou de famille et n’excluent absolument pas le travail à temps partiel.
Mais qu’est-ce qui a encouragé Ada à organiser cette journée de mentorat ? La réponse est très simple. Ada veut permettre aux jeunes filles en recherche d’une voie d’études de faire un choix non pas sur la base de stéréotypes et de préjugés mais bien d’informations correctes. Plus on connaît les choses, mieux on les apprécie... (3)
« Avant, les filles qui étudiaient l’informatique à l’école Karel de Grote ainsi que dans de nombreuses autres hautes écoles atteignaient presque 50%. En 2004-2005, elles n’étaient plus que 5% à peine » explique Luc Lambrecht, Directeur de la formation en Informatique appliquée à la haute école Karel de Grote. « Il est grand temps que cela change ».
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Journée de présentation le 13 octobre 2005
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Corine Van Hellemont
Septembre 2005
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